Histoire du SDIP
1900

Création du SDIP sous la présidence de Antoine Lamôme ayant pour but d'obtenir des pouvoirs publics les améliorations nécessaires au développement du quartier.
Dès sa création il participe au lotissement du quartier, à sa viabilité par la création des voies et à l'assainissement.
Cette action sera continuelle, elle contribuera à la création et au maintien du quartier pavillonnaire que nous connaissons aujourd'hui.

1938

Arrêt de l'activité de l'association.

1954

Réactivation de l'association sous l'impulsion de Jean Pophillat qui en devient président.

A cette époque une déviation de Versailles menace de couper le quartier en deux par une rocade qui rejoindrait le Pont Colbert à Glatigny. L'action du SDIP contribuera à faire annuler ce projet.
De ce renouveau naîtra le Comité de Sauvegarde de Versailles (devenu Sauvegarde et Animation de Versailles), sous l'action de Jean Pophillat et de Françoise Jeanneret (actuelle présidente de Yvelines Environnement), en regroupant les associations de quartiers situés sur le trajet de la rocade.
Dès son renouveau le SDIP doit également s'opposer à l'installation d'abattoirs et d'un marché de gros prévus à l'emplacement de la Cité des Grands Chênes créée par l'abbé Pierre en 1954.
Cette action conduira à la mise en place, en 1986, de la Résidence du Bois des Célestins en ensemble pavillonnaire et non en tours prévues initialement.
Durant les années 1980 le SDIP s'opposera au bouclage de l'A86 en tranchée dans les bois de Porchefontaine et obtiendra le passage en tunnel.

1992

Publication par le SDIP du livre écrit par Pierre CHAPLOT et Claude DUTROU  "VERSAILLES  Sept siècles de l'histoire du quartier de PORCHEFONTAINE".

Dans les années 2000 le SDIP s'oppose au projet initial de la construction de l'immeuble Érignac place du marché. Au terme d'un procès, qu'il remporte, il obtient la réduction de la construction en ramenant le nombre de sous-sols à deux (l'immeuble est situé sur le cours du ru des Nouettes).